10 août 2015
fille d’Égypte, la paix soit avec toi ; dans ta jeunesse, tu avais refusé d’écouter Ma Voix ; mais J’avais dit dans Mes Cours Célestes : ‘Je la séduirai avant que ses cheveux deviennent gris ; Je peinerai en elle et, en peu de temps, Je bénirai et oindrai ce qui était jadis un être hors-la-loi1 ;
oui, c’est Mon Plan en elle ; puis, d’un arbre desséché, Je la transformerai en un arbre fructueux avec des feuilles médicinales’ ; Je te dis à toi aussi, comme l’une de Mes élèves : n’aie pas peur, grandis dans les empreintes2 des pas de ton Maître3, J’ai besoin que tu sois parfaite ! n’aie pas peur de tous ceux qui, pour leurs intérêts, essaieront de te décourager ; Ma fille, il y a dans Mes Messages des paroles qui sont encore dissimulées4, mais le jour viendra où ce qui est caché sera amené à la lumière, et ce qui est dissimulé sera découvert ;
Je te dis cela afin que lorsque quelqu’un essaie d’interpréter Mes paroles, il se trompe ― oui, ces paroles qui sont encore dans l’obscurité ―, car leur interprétation est fausse ; cette semence que J’ai plantée en toi sauvera de nombreuses âmes ; alors, enseigne ce que tu as compris par la Lumière de Mon Esprit ;
Vassula, Je t’ai entendu dire : ‘le Seigneur veut que nous soyons intimes avec Lui’ ; y a‑t‑il quelqu’un qui n’ait pas encore compris combien Je chéris votre intimité avec Moi ? qu’ai-Je dit alors à Simon qui M’avait invité dans sa maison et fut scandalisé lorsqu’il vit Marie se montrer intime avec Moi ? Je lui ai dit : ‘Simon, tu ne M’as pas accueilli en versant de l’eau sur Mes pieds, mais elle, elle a versé ses larmes sur Mes pieds et les a essuyés avec ses cheveux ; tu ne M’as pas embrassé lorsque Je suis entré dans ta maison, mais elle, elle a entièrement couvert Mes pieds de baisers ; tu n’as pas oint d’huile Ma tête, mais elle, elle a oint d’onguent Mes pieds’ ;
dis-Moi, qu’est-ce que la religion ? la religion, c’est lorsque vous avez promis à Dieu de Lui être dévoué, de vous engager pour Dieu, remplis de confiance et de foi jusqu’à ce que vienne la fin, mais jamais sans amour en vous ; car l’amour pardonne vos péchés ; l’amour est l’appel constant de l’homme ; alors, nul ne devrait être surpris lorsque Je coopère avec ceux qui M’aiment, avec tous ceux que J’ai oints et appelés à être Mes prophètes, ou dans quelque autre but ;
ah ! encore une chose ; J’ai entendu ton ami te poser une question à laquelle Je vais répondre : « si Dieu est bon, pourquoi y a-t-il tant de souffrances ? »
par Mon divin pouvoir, Je vous ai donné toutes les choses dont vous avez besoin pour vivre, pour être heureux ; toutefois, combien en ce monde Me vouent une véritable dévotion ? la dévotion manque, et lorsque la dévotion n’est pas là, cela seul empêche de Me connaître et de Me comprendre5 ; J’ai appelé chacun, par Ma propre gloire et bonté, à être bon ; Je n’ai jamais cessé de vous faire des dons, dons qui vous permettront de partager la nature divine, d’échapper à la corruption en ce monde plein de corruption et de vice ; mais l’amour manque en ce monde, remplacé par toutes sortes de vices qui sont autodestructeurs, non seulement pour votre âme mais également pour votre corps ; vous souffrez par votre propre faute, et par votre propre main… non la Mienne ;
Je suis votre Refuge, votre Sauveur et votre Forteresse ! quiconque fait appel à Moi, qu’il soit rassuré, Je Suis avec lui…
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l’Amour vous aime…