12 octobre 1987

(En visite chez quelqu’un, je suis tombée sur un magazine scientifique qui soutient qu’il y a une explication rationnelle à tout phénomène de pensée et qui dissuade de croire qu’il puisse y avoir des œuvres spirituelles. De nos jours, toute chose surnaturelle trouve une explication « naturelle », toutes ces choses qu’on appelle dédoublement de la personnalité, perception extrasensorielle, subconscient, suggestion de pensée, hypnose ou hypnose de masse ou autosuggestion. Les stigmates, par exemple, peuvent être expliqués par l’autosuggestion, c’est-à-.dire qu’on se les impose à soi-même, ou par la schizophrénie ou des complexes sexuels. Il semble que les gens veulent toujours trouver une explication logique. Il ne pourrait plus y avoir à notre époque de grands prophètes comme Isaïe parce qu’ils seraient aussitôt considérés comme des cas médicaux. Il n’y aura bientôt plus de saints qui portent les stigmates qui ne soient classés dans la catégorie des schizophrènes, des victimes de leur autosuggestion ou de leur hystérie. Il me semble que ces gens cherchent à entrer en compétition avec Dieu et à prouver qu’ils peuvent Lui démontrer qu’Il n’est pas Omnipotent.)

Ô Dieu, pourquoi ?

Vassula, nombreux sont ceux qui ne croient pas en Moi.

Mais je Te demande une chose, et je la pense vraiment. Je Te demande de détruire toutes ces théories et ces enseignements qui essaient de Te faire oublier. Ce sont Tes ennemis. Pourquoi les laisser se multiplier ? Détruis ces théories, sinon ce sont elles qui détruiront notre foi. S’il Te plaît, fais-le 1.

Je le ferai ; écoute-Moi ; ne t’afflige pas ; ne doute jamais, aie la foi ; ne te lasse jamais d’écrire ; bien-aimée, c’est pour cela que Je viens ; c’est parce que Je ne peux plus vous voir vous perdre ; comprends-tu maintenant, Vassula ? Ma petite, Je veillerai à ce que tu ne tombes jamais.

Et les autres ? Je ne veux pas voir les autres tomber non plus. Je désire que Tu les soutiennes autant que Tu me soutiens.

Vassula, J’aiderai chacun de vous.

(Dieu paraissait content.)

Ô Dieu, pardonne-moi pour mes demandes exigeantes. Je suis impulsive, mais je ne supporte pas l’injustice. Pardonne-moi d’être si directe.

Je te pardonne, enfant ; dis-le.

(J’avais encore d’autres choses à l’esprit)

Il faut que je Te dise qu’au point où en sont les choses, ces gens ne se laisseront pas convaincre, jusqu’à leur dernier souffle, tout au plus ils classeront cela sous la rubrique « Inexpliqué », mais jamais ils ne diront : « Eh bien, ceci et cela vient donc de Dieu. »

Je les convaincrai ; Mon Pouvoir est au-delà du leur ; Je vous montrerai à tous que Je suis Omnipotent ; Mon Omnipotence sera vue, où que vous soyez ; nul œil ne pourra la nier ; nul homme ne niera que ce signe 2 vient de Moi ; bien-aimée, comment apparaîtront alors leurs théories? 3 comment alors leurs hommes de science se sentiront-ils ? qu’adviendra-t-il de toute leur sagesse ? Je leur montrerai à quoi ressemble leur sagesse en présence de Ma Sagesse ;

J’effacerai de ce monde ce qu’ils croient être sagesse ; c’est une des raisons pour lesquelles Je Me sers de toi, gravant sur toi Mes Paroles ; c’est pour pouvoir prédire Mon Plan ; Moi le Seigneur, Je Suis, J’étais et Je serai toujours, et il ne vous appartient pas de Me considérer comme n’étant pas ; Je Suis.

Ô Dieu Bien-Aimé que j’adore, comme j’aimerais que ce plan soit pour maintenant, aujourd’hui, ou la semaine prochaine.

J’accomplirai Mon Plan, Vassula, comme J’ai toujours accompli tout ce que J’ai commencé ; Ma petite, prions :

Père Bien-Aimé,
je T’aime, je Te bénis,
je Te rends grâce
pour Ta Miséricorde ;
rends-moi digne de Toi,
afin que Tu puisses
Te servir pleinement de moi ;
utilise-moi comme Tu le désires ;
je T’aime ;
amen ;

bien-aimée, Je te bénis ; regarde-Moi.

(Je L’ai regardé.)

Tu souris.

Écris-le 4.

Et quand Tu souris, Tu me montres Tes fossettes.

Je t’aime.

Je T’aime ; Seigneur.


1 Je me suis trouvée à dire à Dieu ce qu’Il devait faire, tellement j’étais dépassée.
2 Est-ce que ce sera un signe dans le ciel, un jour ?
3 Dieu n’a pas répondu.
4 J’hésitais à écrire la suite.