10 janvier 1989

(Message pour la réunion du 13 janvier 1989 à Martigny, Suisse)

Seigneur !

Je suis ;

tout ce que Je vous demande est de prier en sainteté ; priez sans cesse, priez avec votre cœur ; soyez bons les uns envers les autres ; soyez Mon Reflet, Ma Divine Image ; soyez comme des miroirs reflétant Ma Sainteté et Ma Pureté ; que le monde voie sur vous que vous êtes Miens, que vous êtes les enfants de l’Amour, car là où est l’Esprit du Seigneur, il y a la Sainteté et l’Amour, il y a la Lumière, il y a la clarté ; alors, aimez-vous les uns les autres, aimez vos ennemis ! soyez parfaits ! comme votre Père au Ciel est Parfait !

soyez bénis, vous tous ; bénis sont les nouveaux venus ; en vérité Je vous dis ceci : Je suis la Porte de la Vie Éternelle ; celui qui croit en Moi, fut-il mort, vivra ; Je suis la Résurrection, prenez Ma Paix, Je vous offre Ma Paix, prenez-La et répandez-La dans le monde ; soyez Ma progéniture, que chaque âme Me reconnaisse en vous.

(Juste avant que le Seigneur rende public Son Message, quelqu’un est venu m’offrir une très belle statue de Notre-Dame de Fatima, haute de 70 cm. Je sais que Notre-Dame est arrivée ici à temps, pour m’accompagner dans toutes mes réunions publiques.

Lors d’une des réunions organisées en dehors de Lausanne, il m’avait été dit que ce n’était pas la peine d’apporter Notre-Dame de Fatima, car tout était déjà arrangé. La même nuit, j’ai vu en rêve Notre-Dame de Fatima, devant moi sous forme de statue. Je Lui ai demandé de me donner un signe pour savoir si j’avais bien compris qu’Elle était venue pour m’accompagner dans les réunions. Dès que j’ai dit ces mots, Notre-Dame a ouvert Ses bras et les a serrés autour de moi et Elle est restée comme ça. Je me suis réveillée et le matin même, Notre-Dame de Fatima écrivit : « s’il-te-plaît, ne Me laisse pas là, prends-Moi avec toi ! »)

Vassula, aie Ma Paix, lis les signes que le Seigneur te donne, discerne-les et suis-les.

S’il-Te-plaît, aide-moi à les discerner.

Je t’aide.

Merci, Sainte Mère.

Hier, on m’a fait part de la réaction d’un prêtre qui a dit de moi : « Éloignez-vous d’elle, c’est un charlatan ! » Dans un sens, j’étais contente de cette critique car je suis accusée d’imposture tout comme Jésus était accusé par les Pharisiens d’être un faux prophète. Cela m’a rappelé le message que Tu m’as donné le 7 décembre 1988, et tant de fois Jésus m’a dit que je serai blâmée, persécutée et scrutée, et cela ne fait que confirmer Ses paroles. Je suis heureuse d’être blâmée et persécutée pour Sa cause.

Mon enfant, prie pour ceux qui t’accusent et qui portent un jugement sur toi ; prie pour qu’ils ouvrent leur cœur ; prie pour toutes ces âmes qui ne reconnaissent pas les Signes Miséricordieux du Seigneur ;

reste près de Moi ; nous ?

Oui, nous.